On ne peut oublier chez Théodore Géricault la suppression des normes classiques, ni l'utilisation de coups de pinceau épais, pâteux et peu sophistiqués, et ses peintures témoignent de la passion et des sentiments du romantisme. C'est ce que nous voyons dans la plus célèbre de ses œuvres: le radeau de la Méduse. Peinte en 1819 a été exposé au salon automobile de Paris cette année-là, sans beaucoup de succès si son auteur a décidé de le présenter en Angleterre où il avait enfin une meilleure réception que le pays Gallo.
La peinture, grand, représente la passivité du gouvernement au naufrage de la frégate française du même nom que la composition dans laquelle ils ont voyagé des centaines de personnes qui, une fois que le navire a coulé presque entièrement, ils sont obligés de cannibalisme pour survivre et est que personne ne vient les sauver. Les visages des figures reflètent un drame énorme renforcé par le choix réussi des couleurs du peintre: des tons sombres et froids qu'il a utilisés pour capturer la tragédie de la situation. Pour réaliser l'image, Géricault a été documentée sur les circonstances particulières de la catastrophe, il a interviewé des survivants et des hôpitaux visités même où ils pouvaient voir et copier les couleurs des blessures plus profondes et les visages de la douleur, le désespoir et l'agonie, si excellemment dépeintes dans son travail. L'état de la mer ne vient pas mais de réformer l'agonie de son sauvetage tardif. Embrassé, menace de démolir les restes de la vieille frégate.
Il s'éveille au grand livre "les Misérables".
RépondreSupprimerC'est l'une des œuvres d'art les plus impressionnantes que j'ai vues, je la compare même avec "le dernier souper", le travail de Leonardo Da Vinci
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